• Une fleur s'est ouverte, ce matin.
    Ce soir, mon coeur se ferme.
    Petite soeur, prends ma main.
    Je vais te guider sur la terre ferme.

    Un jour passe et un autre
    Recommence, identique.
    Un homme passe et se vautre
    Contre une femme, pathétique.

    L'amour nait de la haine,
    La haine nait de l'amour.
    Et la cause la plus saine,
    Du malheur, vient toujours.

    Nothing is what it seems to be... !


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  • Un ange passe,
    Le temps s'arrête.
    Alors que la Tempête
    S'éloige et trépasse.

    Un météore éblouie
    Tente de lire l'avenir.
    Et l'oiseau, sans répit,
    Lutte contre le Zéphyr.

    L'homme se lève,
    Le soleil se couche.
    Le maitre devient l'élève,
    Les astres nous touchent.





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  • Douleurs que je ressent,
    Dès que tu es loin de moi.
    Doux leurres que je pressent,
    Quand un autre me parle de moi.

    Douleurs, si je touche
    Le fond, perdue.
    Doux leurre : je bouche
    Mes oreilles, mes yeux : têtue.

    Douleurs, j'apprends,
    La vie, et ses désagréments.
    Doux leurre, je m'enfuis
    Dans tes bras, la nuit.

    Douleurs, enfin,
    Lorsque, comme toujours,
    Doux leurres, éphèmères tel le jour,
    Disparaissent dans les confins
    Des ténèbres.


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  • Sous un ciel bleu,
    J'ai grandis, aimée,
    Accompagnée par des parents amoureux.

    Sous un ciel de Cristal,
    Je t'a rencontré, aimé,
    Malgré notre relation pas banale.

    Sous un ciel rouge sang,
    J'ai vu ma famille se déchirer,
    Mon père partir en pleurant.

    Mon ciel, aujourd'hui, est blanc,
    Comme un voile dressé
    Entre ce que je vis, et ce qui m'attend.


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  • Un éclair a traversé le ciel
    Je me suis souvenue.
    Toi, qui me disait "Regarde le soleil,
    Tu vois, ton sourire est revenu".

    Tes paroles, ami poète,
    La musique qui émane de ton être.
    Ta gentillesse, le réconfort,
    Que tu m'apportes, qui a fait battre mon coeur si fort...

    Je t'ai perdu ? Pas vraiment.
    J'ai simplement grandi,
    J'ai compris, avec le temps :
    On a pas besoin d'être proche d'un ami,
    Quand on en est arrivé à ce stade.

    Car, je ne t'oublierai jamais.
    Toi, mon soleil, toi, que j'ai voulu aimer.
    Mais, j'ai fait des erreurs, je le sais.
    Aujourd'hui reste dans ma bouche ce gout amer.
    Et une photo de toi, avec un fond de mer...
    Qui sait, un jour, peut-être que je te retrouverai
    Et, ce jour, peut-être arriverai-je
    Qui sait, à te retenir.
    Peut-être te demanderai-je
    De ne plus jamais partir.

    Quand bien même je ne suis pas la meilleure des amies,
    Quand bien même nous ne nous sommes jamais vus,
    Quand bien même je t'ai rejeté, délaissé... oui.
    J'avoue mes fautes, mais je t'ai connu.

    Alors, je ne peux t'oublier.

    À mon soleil, mon ami, mon poète.
    Pour toi, Julien.


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