• Qui sait, le temps joue ses tours.
    Et, las, quand tu regarde autour,
    De toi, seul, tu ne vois que le vide.
    Hélas, les humains sont trop cupides,
    Pour comprendre le mot "ami".

     Mais qui, un jour, nous réveillera ?
    Nous, si petites choses, qui,
    Pensons être au delà
    de l'ensemble du règne animal.
    Qui nous dira quand on se sent mal,
    De sourire au gens ?

    Un jour, je me suis réveillée.
    Et ce jour, tu étais là.
    Non, dès le premier instant, je ne t'ai pas adoré.
    Car ce genre d'amitié se construit, pas à pas.
    Et jour après jour, j'ai appris à te connaitre.
    Cela fait maintenant deux ans, que je vois,
    Dans ta voix, dans tes yeux, dans tes gestes, apparaitre
    La simplicité d'être ce que tu es. Choix,
    Si facile et auquel personne ne pense.
    Car nous sommes des facades,
    Cachant des âmes en errance,
    Et tu brilles parmis nos ombres comme une lumière.

    Depuis que je te connais, ami, je n'ai plus peur.
    Plus peur d'être jugée pour mes actes, mes pensées.
    Je sais que, malgré mes malheures,
    Près de toi, je serai toujours réconfortée.
    Alors, je m'élance. Dans la vie, dans ce monde inconnu.
    Mais maintenant, je ne souhaites qu'une chose,
    Partager ta lumière, et briller, ingénue,
    Parmis les hommes, et j'ose
    penser qu'au fond, nous sommes tous bons.
    C'est juste que personne n'a pensé
    Qu'il fallait allumer le charbon
    Qu'est notre coeur, pour en faire un brasier.

    Merci pour tout.


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